Ce n'est pas tous les mois que nous obtenons un nouveau jeu de plateforme indépendant 2D avec un style artistique distinct. Les mainframes semblent uniques, frappe le sol en marche avec une prémisse de tueur et quitte votre écran avant que les fissures de conception ne commencent à se montrer. C'est en quelque sorte rafraîchissant.
Ce jeu, publié par The Arcade Crew et développé par Assoupi, n'a pas eu la campagne de marketing la plus étendue, avec une seule bande-annonce de révélation et une bande-annonce de date de sortie rendant la foule plus occasionnelle de son existence. Placer la plupart des jetons sur son potentiel viral est une décision risquée, mais le buzz positif entourant les aperçus et la démo libérée fin 2024 est encourageant. Après avoir joué dans toute l'aventure moi-même en environ trois heures, je pouvais le voir devenir un coup de dormeur.
Bien que les charmantes bandes-annonces et autres documents promotionnels libérés jusqu'à présent suggèrent que c'est une sortie principalement détendue qui met des vibrations froides et des puzzles intelligents sur tout le reste, vous seriez surpris de la façon dont il peut être momentanément difficile. Je dis «momentanément» parce que, contrairement à des classiques de plate-forme modernes tels que Super Meat Boy , vous êtes susceptible de surmonter les défis présente les défis que les Mainframes présentent après un certain temps et sans frapper le mur le plus proche dans le processus.
Au pire, il y aura des moments où les mainframes testent votre patience ou introduisent un mécanicien difficile à digager qui prend un certain temps pour cliquer pleinement avec ce que vous savez déjà. Mais ce n'est pas un jeu terriblement difficile, et le rythme extrêmement venteux et son schéma de contrôle, associé à des réapparition instantanée et à des points de contrôle dans chaque pièce / écran, aident l'expérience à évoluer avant que les choses ne deviennent frustrantes.
Les actions de base de Floppy sont en cours d'exécution, du saut et de la mise en avant en avant. C'est une affaire simple qui se traduit par un jeu de plateforme facile à reprendre. Généralement, ces mouvements doivent être utilisés en conjonction avec les icônes et les fenêtres trouvées dans chaque trame. Le gadget central du jeu utilise un moniteur PC et l'intérieur d'un système comme les nombreuses scènes pour le voyage de Floppy. Pour la plupart, Assoupi a fait un grand usage de ce concept, qui s'applique à la fois au tracé (certes mince) et à la conception et à la structure de niveau. Parfois, il est facile d'identifier les opportunités de gameplay manquées, mais étant donné la façon dont les développeurs ont habilement évité la répétition et coupé toute graisse potentielle, il est difficile d'être ennuyé par les choses que les mainframes ne veulent pas faire.
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Les démons (processus d'arrière-plan) sont au centre du jeu de disquette. Alors que certains personnages offrent des conseils, de nombreux programmes sont encore plus perdus que notre héros, donc une tâche secondaire tout au long du voyage en sauvera autant que possible. Cela n'affecte pas directement la fin ou la progression, mais certains des domaines les plus agréables impliquent de déterminer des voies sûres pour eux vers un ascenseur numérique qui peut les amener à la sécurité d'une salle de pause animée.
Les joueurs qui veulent se diriger vers la fin peuvent ignorer ces défis en toute sécurité, mais les chasseurs de réussite voudront nettoyer chaque pièce. De plus, il y a une réalisation super dure qui oblige les joueurs à terminer tout le jeu sans mourir même une fois (il y a pas mal d'essai et d'erreur dans celui-ci). Inutile de dire que SpeedRunners et la foule hardcore tomberont amoureux des mainframes … s'ils en donnent une chance. Curieusement, il n'y a aucune réalisation (pour autant que je sache) liée à une progression régulière.
Au moment où vous atteignez la fin, il est difficile de ne pas regarder en arrière et de réaliser que, oui, les meilleurs morceaux du jeu étaient en fait ceux qui vous ont presque fait perdre les cheveux. De nombreuses pièces que vous pouvez simplement passer à travers avec une compréhension de base de la mécanique, telles que la redimensionnement des fenêtres en fonction de votre mouvement ou les traînant, mais certains des écrans les plus délicats atterrissent dans ce point idéal pour exercer une pression sur le joueur sans se sentir injuste. Je dirais que beaucoup de tests de test est entré dans celui-ci.
Accompagnant tout le saut de mur et la foutre-fenêtre, les mainframes introduisent un certain nombre de arrière-plans de bureau colorés qui ne sont jamais distrayants (à part un niveau qui essaie activement de vous faire sentir étourdi) et de bien se mélanger avec les éléments à l'avant-garde qui doivent interagir. De même, la bande sonore joyeuse ne s'est jamais sentie ou «trop cool» pour ce qui est en grande partie une aventure fraîche et concentrée.
Ce n'est pas aussi agréable, des insectes malheureux qui ont fait que la disquette ne réagissait pas à des entrées après leur mort et m'a forcé à recharger certains écrans plusieurs fois à partir du menu principal, ce qui est particulièrement gênant lorsque vous avez affaire à une section dure, ou à répéter des scènes de chargement qui ne correspondaient pas à ma progression réelle à travers les huit niveaux majeurs. Bien que je n'ai eu moi-même aucun problème de révolution, un ou deux patchs solides seraient les bienvenus.
En fin de compte, les mainframes sont le rare type de libération indépendante qui se sent à la fois professionnel et sait ne pas frapper au-dessus de son poids. Il a une idée centrale claire et frappe les bonnes notes sans se faire trop de problèmes (contrairement à la disquette). Je ne le décrirais pas comme «confortable» étant donné à quel point il peut vous botter le cul, mais c'est une suggestion facile pour quiconque cherche des formes de plate-forme rapides et magnifiques avec une complexité parfaite.
MainFrames est sorti aujourd'hui, le 6 mars, sur PC et Nintendo Switch.
